Résumé :
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Roger Bastide préfaçant Ambivalence et culte de possession écrivait : « Devons - nous (lui) être particulièrement reconnaissant .. de nous avoir donné pour le Bori haussa le livre que nous attendions .. et (d'avoir) su enfin unifier dans l'unité d'un discours bien structuré le biologique, le psychologique et le social. La notion d'ambivalence fournit le n?ud de cette structure.[2] De cet ouvrage au texte suivant, originellement une communication faite en 1995 lors d'un colloque de TRAIT sur le "Récit", apparaît l'ombre de Géza Róheim, éponyme de notre association. On aura donc compris que dans ces pages Jacqueline fait encore se croiser l'ethnologie et la psychanalyse, aussi sommes-nous heureux de rapporter cette communication
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