Résumé :
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L’enseignement d’une langue « impérialiste » comme l’anglais dans une situation postcoloniale présente non seulement des difficultés sans précédent pour l’enseignant, mais soulève également des questions déconcertantes sur les paradigmes fondateurs des concepts de langue, d’enseignement des langues et de culture. Cette nouvelle perspective rend inadéquates, d’une part, les catégories utilisées dans l’enseignement des langues : EFL (l’anglais comme langue étrangère) et ESL (l’anglais comme seconde langue), et, d’autre part, la critique postcoloniale traitant en général des langues hégémoniques...
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