Résumé :
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La critique de la vie quotidienne n’appelle pas nécessairement un combat conscient et organisé contre les structures qui la conditionnent. Elle n’est pas toujours militante. Elle démarre mezzo voce dans la vie de tous les jours, elle se loge dans les solidarités spontanées du quotidien urbain. Elle ronronne, reste invisible si elle ne fait pas l’objet d’une mise en forme, si elle ne se donne pas à voir, à toucher, à sentir, si elle n’enclenche pas la production d’un nouvel espace sensible.
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