Résumé :
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La 4e de couv. indique : "Comment vivre bien sans la beauté?e, sans la multiplicité?e des symboles et des significations qu'elle offre ?a nos m?méditations, ?a nos conversations ? Dans l’Antiquité?e, la question des critères du Beau ne se posait guère. L'?ouvre d'art possédait une certaine objectivité?e, définie par sa capacité?e d'incarner ?a notre ?échelle les propriétés harmonieuses de l'Ordre du monde, du grand Tout cosmique. Elle s'imposait donc aux hommes comme un "microcosme", douce de qualités incontestables. Le Moyen Age reconduira cette conviction que l'art a pour fonction de mettre en œuvre dans un matériau sensible une vérité supérieure et extérieure ?a l’humanité?e, celle de la splendeur des attributs divins. Il faut attendre le XVIIe siècle pour qu'advienne la "Révolution du go?ut" : l’idée qu'il existe au plus intime du corps humain un sens du beau et que l'?œuvre a pour vocation, non plus d'incarner une vérité, ...
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