Titre : | GROSSESSE MOLAIRE Etude prospective à propos de 28 cas au Centre Hospitalier Régional (CHR) Poudrière de Niamey sur 1an (1 er janvier2016 au 31 décembre 2016) |
Auteurs : | Milka SANNI, Auteur |
Type de document : | texte imprimé |
Editeur : | FSS Niamey, 2018 |
Format : | 74p. / ill en coul / 29cm |
Accompagnement : | cd |
Langues: | Français |
Mots-clés: | Grossesse Molaire ; épidémiologie ; signes ; Antimitotique ; Niamey, Niger |
Résumé : |
Introduction : La grossesse molaire ou mole hydatiforme est le chef de file des
maladies trophoblastiques gestationnelles comportant plusieurs entités rares et distinctes sur tous les plans (clinique, histologique et évolution). Objectif : analyser de la prise en charge de la grossesse molaire au centre Hospitalier Régional de Niamey en vue de proposer des recommandations pour prévenir l’évolution vers le choriocarcinome. Méthodologie : Nous avons mené une étude prospective portant sur 28cas de grossesses molaires traités dans la maternité du CHR poudrière de Niamey sur une durée d’un an allant du 1 er janvier 2016 au 31 décembre 2016. Résultats : Dans cette étude la fréquence de la grossesse molaire était de 0.26% soit 1grossesse molaire pour 387 grossesses admises à la maternité. L’âge de nos patientes était compris entre 17 et 46ans avec un pic situé dans la tranche d’âge de 20 à 29ans. La multiparité est retrouvée dans 57,14% des cas. Les métrorragies 60,7 associées à une hauteur utérine supérieure à celle l’âge gestationnel dans 50% ont été les signes les plus fréquents et les plus typiques. L’échographie a orienté le diagnostic dans 96,4% des cas avant l’avortement. Le dosage des βhCG aide au diagnostic mais son importance est remarquable dans le suivi post abortif de la mole. Une de ces complications type hémorragie cataclysmique à justifier l’hystérectomie totale avec conservation ovarienne chez l’une de nos patientes. Après l’évacuation utérine, une mono chimiothérapie à base de Méthotrexate et une contraception orale étaient administrées systématiquement à toutes nos patientes en prévention d’une dégénérescence maligne.En conclusion le pronostic de la grossesse môlaire est favorable dans la majorité des cas, au prix d’une surveillance clinique, biologique et radiologique systématique. Mais aussi d’une chimiothérapie antimitotique préventive. Introduction: Molar pregnancy or mole hydatiformis the leader of gestational trophoblastic diseases with more entities distinct in all aspects (clinical, histological and evolutionary). Objectives: analyze Methodology: Our work is a prospective study on 28 cases of molar pregnancies diagnosed and cares of in the CHR Poudrière of Niamey over a period of one year going from 1 January 2016 to 31 December 2016. Results: the frequency of molar pregnanc y was 0.26%, one for 387 pregnant women admitted to maternity. Women were between 17 and 46 years old with a peak in the age range of 20 to 29 years old. Multiparous women represented 57.14% of cases. Metrorrhagia 60.71% associated with uterine height highly over than gestational age 50% were the most frequent and most typical signs. Ultrasound remains the most reliable diagnostic test at this time. Before abortus a positive diagnosis in our study rate of 96.43%. The interest of the rate of βhCG was important for the diagnosis and the best in the post-abortus follow-up of the mole. Chemotherapy with Methotrexate ad oral contraception were systematically administer to all our patients to prevent any malignant degeneration or invasive mole. In conclusion, molar pregnancies were benign in the majority of cases , must be follow up and preventive with antimitotic. After abortus, a hemorrhagic complication justified the total hysterectomy with ovarian preservation in one of our pat ients. |
Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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106202971 | SAN | Memoire/Thèse | 03. FSS | 610 - Sciences médicales-Médecine | Disponible |