Résumé :
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Il n'y a plus de sociétés primitives: le Tiers Monde est devenu au cours de ces dernières décennies, le lieu d'élection des conflits armés, des opérations de développement, des déplacements de population et des clubs de vacances...Dans ce concert de louanges ou de réprobations, un certain nombre d'anthropologues se distinguent. Ils font du sauvage le porte-parole de leurs conceptions politiques conservatrices. Leurs ouvrages deviennent de ce fait beaucoup plus représentatifs de l'idéologie dominante de notre propre société que les populations étudiées par eux.
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