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Résumé :
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"L'homme qui parle- le vieil Adam- n'est pas moi. Moi qui écoute, je deviens un peu lui, cela à cause de mon âge: parce que j'ai des petits-enfants, et qu'ils ont touché à mes oreilles, il ne me reste plus que mes yeux pour observer, et ma bouche pour dire la vérité, quand bien même aurait-elle un arrêt-goût de piment... Ce livre veut pose les voies d'une action possible par le dialogue, tâche difficile mais nécessaire. La contestation étant de tous les pays, de toutes les époques, je ne la nie pas. " Je suis blessé, dit Gavroche, c'est la faute de Voltaire." Chez nous, en Afrique, elle est dure dans les choses, elle l'est dans les cœur, car c'est l'existence qui détermine la conscience.Ce dialogue avec les jeune, je le voudrais courtois, élégant, et pour tout dire, civilisé dans sa forme et dans son fond", écrit l'auteur dans son avant-propos. Puisse proviennent en droite ligne de l'antique sagesse africaine, être entendu et servir de base à une sérieuse concertation plus que jamais nécessaire.
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