Résumé :
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L'école républicaine donne un souffle nouveau à l'enseignement primaire du français. Ferdinand Buisson tente de refluer la vague orthographique qui s'était emparée de l'école au cours du XIXe siècle, à la récitation et à rédaction des textes. Citadelle de la dictée, le brevet élémentaire perd la position dominante qu'il avait acquise. Mais le triomphe de la nouvelle pédagogie de la langue nationale reste incertain, comme l'attestent les instructions de Jean Zay de septembre 1938, sur lesquelles s'achève ce second volume.
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